Investir son énergie dans la qualité de l'air intérieur - CEREMA
Comment concilier QAI et économies d’énergie ? Quelles obligations pour les bâtiments publics ? Pour quels bénéfices ?
Conception - Dimensionnement
Mise en oeuvre
Entretien - Maintenance
Un air intérieur de bonne qualité est une notion objective définie par le code de la construction : c’est un air qui ne provoque pas d’inconfort, ne met pas en danger la santé et la sécurité des personnes et dont le taux d’humidité n’induit pas de condensation, sauf de façon passagère. Or, l’air intérieur peut contenir des polluants affectant les occupants, de la simple gêne olfactive aux pathologies aiguës ou chroniques : pollutions physiques (fibres provenant des matériaux de construction, particules fines d’origine extérieure, radon…), biologiques (acariens, pollens, moisissures, insectes, virus, bactéries) ou chimiques (monoxyde de carbone, ozone, composés organiques volatils et semi-volatils, etc.).